Discours solennel d'ouverture de M. Youssouf OUEDRAOGO
Ministre d'État, Ministre des Affaires étrangères,
Représentant personnel de son Excellence Monsieur le Président du Faso, Chef de l'État
Monsieur le Président Eluerd,
Monsieur le Recteur,
Mesdames et Messieurs les biennalistes,
Le Burkina Faso s'honore infiniment de cette rencontre de la XVIIIe biennale de la langue française.
Le Burkina Faso marque un attachement profond et multiforme à la Francophonie.
En décembre 1994 notre pays a abrité la IVe conférence ministérielle de la Francophonie. Au VIIIe sommet de la Francophonie qui vient de se tenir à Moncton, les chefs d'État et de gouvernement des pays ayant en partage la langue française nous ont fait l'honneur de se déclarer favorables à ce que le Burkina Faso accueille le Xe sommet en 2003.
C'est en cela et pour cela que son Excellence Blaise COMPAORE, Président du Faso, sous le haut parrainage duquel vous avez placé cette XVIIIe biennale, m'a chargé de vous dire ses premières amitiés et ses premières salutations ainsi que le commande la tradition africaine.
Je voudrais en son nom déclarer, officiellement et solennellement, ouverte la XVIIIe biennale de la langue française et plein succès à vos travaux.