Message de M. René MONORY
Sénateur de la Vienne,
Ancien président du Sénat,
Président du Conseil général de la Vienne
J'aurais aimé être présent à cette biennale pour vous exprimer mes encouragements et vous dire combien je me félicite de cette initiative de vous réunir à Ouagadougou, ville jumelée avec Loudun depuis plus de trente ans.
Merci à vous et à votre président, M. Roland Eluerd, d'avoir retenu la capitale du Burkina Faso pour tenir vos travaux !
Vous avez choisi deux sujets particulièrement intéressants : "La jurisfrancité" et "le Burkina Faso et la francophonie".
Il me paraît essentiel, à l'heure de la mondialisation, que la culture juridique française partagée par nos amis africains fasse l'objet d'études, de réflexion et de promotion.
Les prestigieux conférenciers qui interviendront sur ce sujet montreront combien, s'agissant du droit, le français est une langue africaine et internationale appelée à se développer grâce à son enracinement historique, à sa rigueur, à sa capacité à répondre aux exigences de notre temps, y compris sur Internet.
Quant à la culture burkinabè, je vous remercie et vous félicite d'y consacrer vos travaux. Le Burkina Faso est ma deuxième patrie et c'est toujours avec émotion et optimisme que je constate, année après année, les progrès de ce pays sous la conduite de mon ami le Président Blaise Compaoré.
Le Burkina Faso, par la richesse de sa culture, par la dignité et la volonté de ses habitants, par son université et ses enseignants chercheurs, a beaucoup à apporter à la francophonie.
En saluant tous mes amis burkinabè présents à cette biennale, je vous adresse tous mes vœux de pleine réussite.