Les biennales, ces frairies de l’esprit au service d’un bien singulier, instrument et objet tout ensemble : notre langage, notre « saint langage », à nous remis comme à des répondants, à des fils responsables et qui ressentent profondément le haut honneur de le parler. (Actes I p. 8)
Maurice Genevoix
Secrétaire perpétuel de l’Académie française
Président d’Honneur de la Biennale de1963 à 1981
Cultivons ce qui nous unit,
Savourons ce qui nous distingue,
Combattons ce qui nous divise.
Alain Guillermou
Fondateur et Président des biennales de 1963 à 1993
Grand prix 1966 du rayonnement français
de l’Académie française
« Ouagadougou, Ottawa, La Rochelle, ce sont les horizons de notre carte de navigation francophone : l’Afrique, l’Amérique, la France.
La Francophonie sera africaine ou elle ne sera pas…
La francophonie canadienne, des cœurs battants du Québec, de l’Acadie aux autres provinces, joue et jouera le rôle dynamique des pionniers. Le français que nous partageons a besoin du grand large, des horizons lointains. Mais c’est en France que tout se gagnera ou se perdra.
Nous adopterons un regard tourné vers l’avenir de notre langue dans la diversité linguistique du monde, un regard de découvreur de terres inconnues, un regard de poète, c’est le même regard. »
(Roland Eluerd, Président, La Rochelle 2003, Actes XIX p. 10)
- Préambule
- Genèse de la Biennale de la langue française
- Les valeurs-phares de la Biennale
- La langue française et l'identité culturelle
- Le français, langue internationale
- La langue française et le droit
- Défense et illustration de la langue française
- L'enrichissement de la langue française
- L'illustration de la langue française
- Les nouveaux enjeux
- La Culture universelle et la diversité linguistique
- Présence de Senghor
- L'élan créateur d'Alain Guillermou
- Annexes