Colloque à la Sorbonne le 16 décembre 2006 avec Laurent Lafforgue, Michel Bergeron et Francis Jutand
Réuni à l’Université de Paris-Sorbonne, le samedi 16 décembre 2006, le 3e Colloque international de la Biennale de la langue française a été l’occasion d’un riche débat sur la place du français dans les sciences et les techniques.
Sont successivement intervenus le docteur Michel BERGERON, directeur de la science et de la technologie à l’Organisation des États américains, le professeur Laurent LAFFORGUE, de l’Académie des sciences, médaille Fields 2002, professeur à l’Institut des hautes études scientifiques, et le professeur Francis JUTAND, directeur scientifique du GET (Groupe des écoles des télécommunications). Leurs exposés et le dialogue avec le public ont permis de retenir quatre grandes priorités.
La première priorité est pédagogique. Elle refuse une prétendue opposition entre les Lettres et les Sciences. La rigueur indispensable à la pratique des sciences s’apprend et s’exerce dans l’analyse de sa langue, dès les premières années de l’école.
La deuxième priorité est une exigence démocratique. Elle implique le développement de l’information scientifique, non pas pour donner plus d’informations, mais pour donner une meilleure information. À défaut, la communauté scientifique se coupera des peuples.
La troisième est le gage du développement. Elle demande qu’une place essentielle soit réservée à l’éducation et à la recherche.
La quatrième pourra paraître moins immédiatement programmatique, mais elle n’en est pas moins fondamentale puisqu’elle invite à réfléchir sur les liens entre la recherche et les langues maternelles ou de communication. Ici sont apparus deux écueils redoutables : le risque que l’emploi trop immédiat d’une langue étrangère puisse aller contre la qualité même de la recherche, l’ardente nécessité de maintenir des publications scientifiques dans toutes les langues.
Ces questions et ces priorités seront les fils directeurs des travaux de la 22e Biennale de la langue française qui se réunira à Dakar début novembre 2007.
Avec :
Laurent LAFFORGUE, de l'Académie des Sciences, médaille Fields 2002, professeur à l'Institut des hautes études scientifiques
Michel BERGERON, professeur à la Faculté de médecine de Montréal, directeur de la revue M/S Médecine Sciences, directeur du département de la Science et de la Technologie à l'Organisation des Etats américains
Francis JUTAND, fondateur et directeur du département STIC au CNRS (2000-2004), directeur scientifique du GET (Groupe des écoles des télécommunications)
Colloque organisé en partenariat avec
l'Organisation internationale de la Francophonie
la Délégation générale à la langue française et aux langues de France
Ministère du patrimoine canadien
l'Alliance francophone
le GET
l'Université de Paris-Sorbonne
A l'initiative de Joseph-Yvon Thériault, vice-président de la Biennale, a été créée à l'université Laval à Québec, le 30 avril 2004, une filiale de la Biennale sous le nom de Biennale Amérique de la langue française.
Il s'agit d'une réseau regroupant des centres et instituts de recherche des Amériques portant sur la langue française et qui s'est donné trois grands objectifs :
- être un observatoire multidisciplinaire du développement de la langue et de la culture françaises en Amérique.
- faire la promotion et la diffusion de la recherche sur la langue et la culture françaises afin d'orienter les politiques linguistiques.
- en tant que témoin de la francophonie des Amériques, servir de plate-forme internationale à la Biennale de la langue française.
La Biennale Amérique de la langue française tiendra, toutes les années paires, un congrès qui tentera de faire l'état des lieux de la francophonie des Amériques. Les années impaires, elle organisera la participation des conférenciers d'Amérique aux congrès de la Biennale de la langue française.
Salle des Actes de l'Université de Paris Sorbonne, samedi 2 octobre 2004, 9h30
"L'intraduisible, ou la nécessité du plurilinguisme".
Intervenants :
Mme Françoise WUILMART, professeur à l'Institut supérieur de traducteurs et interprètes de la Communauté française de Belgique (I.S.T.I.), fondatrice et directrice du Collège européen de traducteurs littéraires de Seneffe, présidente d'honneur de l'Association pour le rayonnement des langues européennes (A.R.L.E.).
"La langue inhospitalière"
MM. Michel BUTTIENS, Office des traducteurs, terminologues et interprètes du Québec.
"Intraduisible n'est pas français"
François MATHIEU, ancien président de l'Association des traducteurs littéraires de France (A.T.L.F.).
"Le traducteur d'un poème écrit le poème du poème"
Barnabé MENSAH, traducteur et interprète langue gen du Bénin, doctorant à l'INALCO.
"Traduction ou transculturation"
Toute traduction comporte une perte ou, ce qui est pire, une modification de l'information.L'art du traducteur, car c'est un art, est de transporter d'une langue dans une autre le texte, son contenu explicite mais aussi tout ce qui est connoté, tout ce qui est lisible entre les lignes, jusqu'à l'indicible même ... D'un côté la traduction aussi littérale que possible, de l'autre la traduction qui saisit l'esprit du texte ... les périls et les réussites attendent le traducteur des deux côtés.
Dans les affaires du monde, il semble qu'on se soucie moins de ces périls. On accepte comme allant de soi l'idée qu'il puisse exister une langue transparente capable de traduire toutes les autres sans perte essentielle d'information.
Cette idée est linguistiquement, scientifiquement fausse. Toute langue est un filtre, une manière de concevoir le monde. Aucune langue ne voit le monde "comme il est". S'en remettre à une langue, c'est s'en remettre à sa manière de comprendre le monde.C'est souvent enrichissant. Ce peut être utile. Ce peut être dommageable.
Mais ce n'est jamais sans risque pour la démocratie et la diversité des cultures.
Elle s'est tenue à SOFIA du 29 octobre au 1er novembre 2009 sur le thème : Les identités francophones : le français, langue de partage et d’ouverture en Bulgarie et dans les pays du Sud-Est européen.
Sous le haut patronage de
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Georgi PARVANOV
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Nicolas SARKOZY
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la 23e Biennale de langue française a traité du thème Les identités francophones : le français, langue de partage et d’ouverture, en Bulgarie et dans les pays du Sud-Est européen.
Ces questions ont été examinées par trente conférenciers représentant la Bulgarie, l’Albanie, la Croatie, la Macédoine, la Roumanie, le Sénégal, le Maroc, le Canada (Québec), la Belgique (Wallonie), la Suisse et la France.
Les échanges et les conclusions ont souligné l’intérêt de la présence des pays du Sud-Est de l’Europe dans la Francophonie.
1. Outre la permanence de traditions culturelles francophones anciennes, ces pays de francophonie « choisie » offrent en effet des usages, des pédagogies et des promotions du français qui ne peuvent manquer d’intéresser les autres pays, puisque tous, la France comprise, doivent eux aussi, d’une manière ou d’une autre, à un moment ou à un autre, « choisir » d’employer le français.
2. Ces pays ouvrent de nouveaux espaces de coopération internationale avec les francophones des continents africain et américain. Aux échanges tournés vers la France, s’ajoutent alors des échanges latéraux. Dans cette perspective, les travaux de la Biennale ont montré combien, par exemple, l’échange Balkans / Sénégal, ou Balkans / Canada était riche d’enseignement et de potentiel.
3. Enfin, ces pays justifient, si cela était nécessaire, les actions linguistiques de l’O.I.F. dans son « programme Europe ». Le capital essentiel de la francophonie est le français. Promouvoir la langue française est donc la condition sine qua non de l’existence de la francophonie linguistique et institutionnelle.
Ainsi se dessinent autant les contrastes de la diversité des identités francophones que leurs lignes de convergence. Mais, au-delà des cadres institutionnels et culturels en place, il est clair que demain, pour le meilleur comme pour le plus risqué, ce seront d’abord les espaces virtuels de la Toile qui serviront de marqueurs d’identité. Il importe donc que la francophonie soit présente dans les réseaux sociaux qui s’y développent et qui touchent tout particulièrement les jeunes. Les prochaines rencontres de la Biennale de la langue française seront attentives à ce monde des identités individuelles ou collectives numériques.
Parmi les autres moments importants de la 23e Biennale, on retiendra la séance d’ouverture à l’Université Saint Clément d’Okhrid, les messages de L.E. Monsieur Georgi Parvanov, Président de la République de Bulgarie, Marin Raykov, vice-ministre des Affaires étrangères, James Moore, ministre du Patrimoine canadien, Alain Joyandet, secrétaire d’État à la Coopération et à la Francophonie. La participation du président de la Biennale, le professeur Roland Eluerd, à l’une des cérémonies du 1er novembre consacrées à ceux qui furent les artisans de la Renaissance bulgare au 19e siècle. Enfin le gage d’avenir de la séance de clôture, où plus de 50 jeunes enfants ont reçu prix et certificats de participation à un concours d’expression écrite française.
Vœux adoptés par la 23e Biennale de la langue française
SOFIA 2009
Premier vœu
Considérant la nécessité d’appliquer réellement les principes d’ouverture, de partage et de diversité qui sont au cœur des idéaux francophones,
la 23e Biennale de la langue française souligne l’importance du projet de Dictionnaire des écrivains balkaniques d’expression française et souhaite qu’il reçoive les appuis universitaires et financiers qu’il mérite.
Elle souligne également l’importance de voir traduire les auteurs francophones dans les langues des pays du Sud-Est de l’Europe et, réciproquement, de publier en français les écrivains de ces pays, en particulier pour les faire connaître des professeurs de français de toute la Francophonie.
Deuxième vœu
Rappelant les conclusions de la 22e Biennale de la langue française, réunie à Dakar en 2007, sur l’unité de la culture et le fait que les usages d’une langue doivent tenir également compte des sciences et des arts,
et considérant que l’édifice de la Francophonie repose sur l’enseignement du français,
la 23e Biennale de la langue française souhaite que tout soit mis en œuvre pour que les professeurs de français disposent des moyens et des ressources qui leur permettront de faire découvrir à leurs élèves une langue de culture et de modernité.
Troisième vœu
Considérant qu’une langue n’est jamais un simple moyen de communication mais toujours, dans ses usages les plus utilitaires ou les plus culturels, une manière de comprendre le monde,
la 23e Biennale de la langue française applaudit le programme Europe de l’O.I.F. pour la formation en français des fonctionnaires internationaux de langue étrangère et souhaite que l’ « ardente obligation » d’employer le français dans les enceintes internationales soit fermement rappelée aux fonctionnaires français eux-mêmes.
Quatrième vœu
Considérant que la liberté de circuler est un élément fondamental du développement de la Francophonie,
la 23e Biennale de la langue française renouvelle le souhait que cette liberté soit favorisée, tout en étant conditionnelle et contrôlée, et soutient le projet de l’Alliance francophone pour un visa francophone qui permettra une circulation plus libre des créateurs de richesses culturelles et économiques dans l’espace de la Francophonie.
Пожеланията на 23-то Биенале на френския език
София 2009 г.
Първо пожелание:
Отчитайки необходимостта от реалното прилагане на принципите на откритост, споделяне и многообразие, които са в сърцевината на франкофонските идеали,
23-то Биенале на френския език подчертава значението на проекта „Речник на балканските писатели, пишещи на френски език” и желае той да получи университетската и финансова подкрепа, която заслужава.
Биеналето подчертава също значението на превода на тези автори на езика на страните от Европейския Югоизток и съответно публикуването на френски автори в тези страни, най-вече за да се запознаят с тях преподавателите по френски език от цялото франкофонско пространство.
Второ пожелание:
Напомняйки изводите на 22-то Биенале на френския език, заседавало в Дакар през 2007, относно единството на културата и факта, че употребата на даден език трябва да държи сметка за науката и изкуството,
и отчитайки, че конструкцията на Франкофонията почива върху преподаването на френския език,
23-то Биенале на френския език пожелава всичко да се устрои така, че преподавателите на френски език да разполагат с необходимите средства и ресурси, позволяващи им да разкрият пред своите ученици един език на култура и модерност.
Трето пожелание:
Отчитайки, че един език никога не е просто средство за общуване, а винаги е, както в най-утилитарната, така и в най-културната си употреба, начин за разбиране на света,
23-то Биенале на френския език аплодира програмата Европа на Международната организация на Франкофонията за подготовката по френски език на чуждоезичните функционери - международници и пожелава „горещото задължение” за употреба на френския език на международните форуми да бъде строго напомнено и на самите френски служители.
Четвърто пожелание:
Отчитайки, че свободата на движението е фундаментален елемент за развитието на Франкофонията,
23-то Биенале на френския език подновява пожеланието тази свобода да бъде улеснена, като в същото време остане подчинена на определени условия и контрол, и поддържа проекта на Франкофонския алианс за франкофонска виза, позволяваща по-свободно движение на творците на културни и икономически богатства във франкофонското пространство.
PROGRAMME
Jeudi 29 octobre
Séance solennelle d’ouverture
sous la présidence de
S.E. Monsieur Étienne de PONCINS
Ambassadeur de France en Bulgarie
AULA MAGNA de l’Université Saint Clément d’Okhrid, à 17 h
Vendredi 30 octobre
Première séance, de 9 h à 11h
Identités francophones balkaniques : situations.
Présidence : Antony TODOROV,professeur à la Nouvelle Université Bulgare, Sofia.
Andromaqi HALOÇI, professeur à l’Université de Tirana, membre du comité de l'Association des professeurs de français en Albanie. La francophonie en Albanie, bilan et perspectives.
Cheryl TOMAN, professeure associée à la Case Western Reserve University, Cleveland, Ohio, États-Unis. Francophonie et identité nationale en Croatie.
Mariana PERISANU, maître de conférence à l'Académie d'études économiques de Bucarest. Francophonie roumaine, défense et illustration.
Irina BABAMOVA, maître de conférence à l’Université Saints Cyrille et Méthodes, Skopje. Le français en Macédoine, tradition, actualité et tendances.
Deuxième séance, de 11h30 à 13h
Identités francophones :dimensions politiques
Présidence : Anna KRASTEVA, professeur de sciences politiques à la Nouvelle Université Bulgare
Antony TODOROV, professeur à la Nouvelle Université Bulgare. Titre en attente
Jean R. GUION, de l'Académie des Sciences d'Outre-mer, président international de l'Alliance francophone, Paris. L'identité francophone.
Monique CORMIER, professeure à Université de Montréal, membre de la Société royale du Canada. Les avancées et les reculs d’une langue : le cas du français au Québec
Tudorel URIAN, consultant, ancien conseiller au parlement européen, Bucarest. La France et la nouvelle démocratie roumaine.
Troisième séance, de 15 h à 17h
Identités francophones balkaniques : le rôle de la littérature
Présidence : Alain VUILLEMIN, professeur à l’Université d’Artois
Stoyan ATANASSOV, professeur à l'Université Saint Clément d'Okhrid, Sofia,
président de l'AMOPA Bulgarie.
La littérature française en Bulgarie.
Roumania L. STANTCHEVA, professeur à l'Université Saint Clément d'Okhrid, Sofia.
Un portrait des auteurs bulgares francophones de l'entre-deux-guerres.
Rennie YOTOVA, professeur à l'Université Saint-Clément d'Okhrid, Sofia.
Le mythe de Paris dans la littérature bulgare.
Mihaela CHAPELAN, Université Spiru Haret, Bucarest.
La littérature balkanique d'expression française : entre affirmation et négation de l'identité nationale.
Stéphane GUROV, membre de l’école doctorale de l’Université de Paris Sorbonne. Un Héros bulgare (lectures croisées de Ronsard, Voltaire et Nabokov).
Quatrième séance, table ronde de 17 h 30 à 18 h 30
Identités francophones balkaniques: le projet DEBEF (Dictionnaire des écrivains balkaniques d’expression française)
Présidence : Raya ZAÏMOVA, Institut d’études balkaniques de l’Académie bulgare des sciences
Roumania L. STANTCHEVA, professeur à l'Université Saint Clément d'Okhrid, Sofia.
Mihaela CHAPELAN, Université Spiru Haret, Bucarest.
Alain VUILLEMIN, professeur à l'Université d'Artois.
Roland ELUERD, président de la Biennale de la langue française
Samedi 31 octobre
Cinquième séance, de 9 h à 11h
Identités francophones : l’espace européen
Présidence : Fabienne REUTER, déléguée Wallonie-Bruxelles à Bucarest
Stéphane LOPEZ, responsable de projets, Langue française, diversité culturelle et linguistique, à l'Organisation internationale de la Francophonie, Paris.
Titre en attente.
Gueorgui JETCHEV, professeur à l'Université Saint-Clément d'Okhrid, président de l'Association des professeurs de français en Bulgarie. Le français en Bulgarie dans le concert des langues romanes.
Claire-Anne MAGNÈS, ancienne rédactrice en chef de Francophonie vivante, Bruxelles. Écrivains nés en Flandre qui ont choisi d'écrire en français.
Erich WEIDER, docteur en linguistique, membre du Fichier français de Berne, Suisse.
Diversité et nouveaux « standards » : le grand écart
Sixième séance, de 11h30 à 13h
Identités francophones : pratiques
Présidence : Line SOMMANT, docteur en linguistique, vice-présidente de la Biennale de la langue française
Lucile BRUAND-EXNER, attachée de coopération à l'ambassade de France en Roumanie. L’enseignement bilingue en Roumanie ou l’innovation pédagogique au service du français.
Mohamed TAÏFI, professeur au Virginia Inst. Lexington, États-Unis. La place du français aujourd’hui dans les pays du Sud.
Stephka BOEVA, curateur-guide au musée « Maison de la satire et de l’humour », Gabrovo. L’humour gabrovien, ses métamorphoses et ses rencontres avec la francophonie et certains francophones.
Septième séance, de 15 h à 17h
Dimensions scientifiques et technologiques des identités francophones
Présidence : Abderrahmane RIDA, directeur de l’Institut de la Francophonie pour l’administration et la gestion (IFAG)
Simeon ANGUELOV, ancien ambassadeur de Bulgarie en France,
Titre en attente.
Odile CANALE, Chef de mission à la Délégation générale à la langue française et aux langues de France, Paris. Langue française et communauté scientifique
Jean-Alain HERNANDEZ, chargé de l’édition scientifique à l'Institut Télécom, Paris. Président d’honneur de l’Association des informaticiens de langue française. Les nouvelles technologies dans la construction d'une identité francophone.
Richard LESCURE, attaché de coopération éducative au CCC de Sofia. Le français à destination des professionnels étrangers et des entreprises.
Roland ELUERD, président de la Biennale de la langue française
Huitième séance, table ronde de 17 h30 à 18 h 30
Universalité poétique des identités francophones
Présidence : Roland ELUERD, président de la Biennale de la langue française
Moustapha TAMBADOU, secrétaire général de la commission sénégalaise pour l’UNESCO et l’ISESCO, Dakar.
Présence de Senghor en Bulgarie.
Amadou Lamine SALL, membre du comité scientifique de Éthiopiques,
président de la Maison africaine de la poésie internationale (MAPI), Dakar.
Andrey MANOLOV, président des traducteurs littéraires à l’Union des traducteurs bulgares, traducteur de Senghor.
Alain VUILLEMIN, professeur à l'Université d'Artois.
Soirée au Palais national de la Culture, salle Lumière
Poètes francophones
Troupe de l’École nationale de danse
Dimanche 1er novembre
Matinée libre.
Séance de clôture à 15 h
Vœux de la 23e Biennale
Cocktail de clôture
Les actes de la XXIIe Biennale qui s'est tenue à Dakar du 4 au 6 novembre 2007 sont consultables en ligne http://www.biennale-lf.org/b22 .